Merci. Merci d'exister.
Vous sans qui
je serais seul au monde.
Vous qui dites non.
Vous qui n'acceptez pas.
Vous qui criez à l'injustice.
Vous qui vous rebiffez.
Car aujourd'hui, il faut savoir contre
quoi on lutte, alors qu'autrefois l'oppression montrait toujours son
vrai visage. L'infâme est maintenant diffus et éparpillé.
Microscopique toxique qui ronge subrepticement tout ce qui est
grandeur chez l'homme. La bête a perdu son visage. Je dirais même
plus : elle a muté.
Merci à vous, qui avez choisi mieux
que l'espoir, de vous battre de toute votre vie contre l'oppression
et la morosité.
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